La mémoire d’un conflit, récent ou non, est cruciale pour envisager la possibilité d’une réconciliation et permettre le vivre ensemble dans une société, que ce soit dans le(s) pays concerné(s) mais également en Belgique où des populations parfois opposées dans un conflit ont migré et sont amenées à se côtoyer.
La mémoire joue également un rôle essentiel dans la prévention des conflits : parler du passé et offrir une reconnaissance aux victimes permet parfois d’éviter que des blessures ne resurgissent trop brutalement. À travers différents exemples de la gestion mémorielle, la formation montre comment des États choisissent de parler du passé et pour quelles raisons.
Intervenante : Anne-Claire Willocx
PRIX : Gratuit
PERSONNE DE CONTACT : Touria SALHI – touria.salhi@cripel.be – 04 220.59.63